Deauville 2017, ça continue ! Pour ce milieu de semaine, toujours pas de soleil à l’horizon, très peu de stars et un rythme qui globalement se ralentit. C’est toujours ainsi la semaine, il faudra attendre ce vendredi pour que la ville se réveille de nouveau. DES FILMS 1. Blue Print – COMPÉTITION – 06/09 J’annonce un prix pour Blue Print. Il m’a rappelé Fruitvale Station et par son thème et par l’accueil qui lui a été réservé. Tout comme il y a quelques années avec Fruitvale, je ne serais pas forcément heureuse de retrouver ce film au palmarès. Blue Print…
Ce matin, ça sent la fin. La fin de ce Deauville 2013 riche en émotions. Mais avant de faire nos adieux aux planches et de se faire des câlins en pleurant , il nous reste 1 journée et 1 matinée. Essayons d’en profiter. Le défi de ce samedi sera de trouver des places pour la cérémonie du palmarès et le film de clôture (Snowpiercer), ce qui n’est pas chose aisée. On commence donc notre journée par faire un tour au bureau de presse. Malheureusement, difficile d’avoir une place pour l’instant. On repassera. Terminé les films en compétition. Aujourd’hui et demain…
Des semaines qu’on s’y préparait. Nous voilà enfin parties pour le 39ème Festival du Film Américain de Deauville. Des valises de 20kg pleines à craquer, direction la Gare Saint Lazare pour un décollage à 9h44 pétantes. Dans le train, on sort nos petits livres de poche (biographie de Steve Jobs pour moi, La liste de mes envies pour M.) qu’on range rapidement pour finir une nuit un peu trop courte et arriver en forme sur la côte normande deux heures plus tard. À l’arrivée, on trimballe toujours nos aussi grosses valises jusqu’à notre appartement pour les 10 jours à venir,…
Après une toute petite nuit, me re-voici d’attaque. Aujourd’hui, trois films à voir et l’immense satisfaction au réveil d’avoir pu réserver mes places pour Behind the Candelabra et La Grande Bellezza. La joie fût de courte durée puisque, à peine arrivée au Palais, j’apprends que le système de réservation est down et que mes tickets ne seront pas disponibles. Agacée et un peu fatiguée par cette organisation déplorable, je ne lâche rien et me mets à la recherche d’une invit’. Un petit panneau en main et on m’offre mon billet. Après Il Divo, j’ai hâte de découvrir le nouveau Paolo Sorrentino. Les premières minutes m’auront complètement retournée. Rome…