Dog Pound est le deuxième film de Kim Chapiron (Sheitan) qui sort ce mercredi dans les salles obscures. Synopsis: Davis, Angel et Butch sont envoyés à la prison pour délinquants juvéniles d’Enola Vale. Ils arrivent ensemble mais vont avoir des chemins et des destins différents dans un univers où on se retrouve souvent la victime. Casting: Essentiellement des acteurs amateurs, du casting sauvage à part Butch (Adam Butcher). Alors je n’avais pas vu Sheitan mais j’en avais entendu parler pour sa violence, Dog Pound a aussi sa part de violence qui te met une claque énorme. Chapiron nous offre ici…
Splice est un film de Vincenzo Natali (Cube) qui sortira le 30 juin 2010 au cinéma. Ce film aurait pu sortir il y a bien longtemps puisque Vinzenzo l’a écrit il y a 10 ans, mais par manque de financement, de technologie, le film ne sort que maintenant. Ce film a déclenché des critiques très différentes lors des avants premières.
Synopsis : Clive et Elsa sont des scientifiques travaillant sur le mélange d’ADN dans le but d’obtenir des hybrides. Mais ils sont aussi un jeune couple, sans enfant. Alors que leur travail est un succès avec l’ADN d’animaux, ils décident de passer à l’être humain sans l’autorisation de leurs supérieurs. Ils créent une créature, mi humaine, mi animale : Dren.
Casting: Sarah Polley (Mr Nobody), Adrien Brody (Le Pianiste), Delphine Chaneac
Le film part d’une histoire/principe que j’aime bien: la manipulation génétique, mais le film ne pousse pas assez le côté éthique/scientifique mais part plutôt sur un problème relationnel et des rapport avec le passé des personnages.
La création de l’hybride Dren est sympa, on assiste à diverses étapes, on suit les modifications de son corps même si parfois on a l’impression qu’il y a des erreurs sur sa conception (au niveau des jambes, des genoux particulièrement, parfois on a l’impression de voir à travers :s). Dren est géniale, limite effrayante, entre son côté animal et son côté humain, sans qu’on puisse vraiment savoir ce qu’il se passe dans sa tête. L’actrice qui joue l’hybride est très reconnaissable malgré les effets rajoutés, c’est vraiment sympa à voir.
L’Agence tous risques est un film de Joe Carnahan, c’est une adaptation de la célèbre série du même nom diffusée dans les années 80.
Synopsis: Aucune équipe ne ressemble à celle de L’Agence Tous Risques. Quatre hommes, hyper qualifiés et autrefois membres respectés d’une unité d’élite de l’armée, sont chargés d’une mission classée top-secret destinée à les piéger, et qui les conduit en prison pour un crime qu’ils n’ont pas commis. Mais la somme de leurs talents leur permet une évasion sans accroc. Devenus des rebelles, ils décident de blanchir leurs noms et de retrouver les vrais coupables. (allocine)
Le casting : Liam Neeson, Bradley Cooper, Quinton Rampage Johnson, Sharlto Copley et Jessica Biel
Alors ce film est un concentré d’action, d’humour, de références, de souvenirs. On ne s’ennuie pas une seconde, l’histoire est rythmée, les plans géniaux.
Alors un petit topinou pour vous montrer mes films préférés,vous permettre de mieux cerner la personne que je suis et vous faire commenter mon top aussi en donnant votre avis.
Par contre je mettrai pas d’explication parce que wordpress m’a déco alors que j’avais tout mis et j’ai pas envie de recommencer :) Toute façon là plus part y a pas besoin de se justifier :-)
10. Sexe intentions
9. Push
8. Matrix
Summer Wars est un film d’animation japonais de Mamoru Hosoda (La Traversée du temps) qui est sortit ce mercredi au cinéma. Il est très peu distribué en France (une quarantaine de copies seulement). Synopsis: Le monde d’Oz est un monde virtuel où une grande partie de la population mondiale se retrouve. On peut s’y connecter de son téléphone, sa console, son ordinateur, sa TV, … Kenji fait partit de l’équipe de maintenance d’Oz, il est aussi très doué en mathématique. Un jour la belle Natsuki lui propose un job d’été qui consiste à l’accompagner dans sa ville natale. Mais les…
Puisque sur ce blog nous vivons en Nivraecratie, et que “j’ai pas le choix”, c’est le pas trainant et la larme à l’oeil que je vous apprends (si vous le savez deja, vous avez des goûts douteux) qu’aujourd’hui sort au cinéma le film ‘Fée malgré lui’.
Ce film est réalisé par Michael Lembeck, le réalisateur de Greek et de Californication, comme quoi il arrive de bien mauvaises choses même aux meilleurs.
Synopsis : Derek Thompson, joueur professionnel de hockey sur glace qui pense que tous les coups sont permis, à la fâcheuse habitude de casser les dents de ses adversaires. Ce qui lui vaut le surnom de « Fée des dents ». Mais nul n’est à l’abri d’un sortilège… Un jour, après avoir brisé le rêve d’un enfant, Derek se voit condamné à une semaine de travaux d’intérêts généraux au royaume des fées. Pour accomplir son nouveau travail, il va devoir enfiler ailes et tutu et se transformer en vraie fée des dents ! Muni de sa baguette magique, l’ancien champion collecte tant bien que mal les dents de lait placées sous les oreillers, et volette péniblement d’une maison à l’autre en multipliant les maladresses.
Mais sa nouvelle mission va rapidement lui donner l’occasion de redécouvrir ses rêves d’enfant… (allocine)
Infectés est un film de David et Alex Pastor, un peu dans la mode actuelle : virus, road trip, fuite, infection, … Synopsis: Quatre jeunes gens foncent sur l’autoroute en direction de l’océan, mais ils ne sont pas en route pour des vacances : ils tentent d’échapper à la fin du monde… L’espèce humaine est menacée par un virus mortel. Plus personne n’est à l’abri. Pour tenter d’échapper à la pandémie, Danny, son frère Brian, sa petite amie Bobby et une amie d’école, Kate, font route vers le sud-ouest des États-Unis. S’appuyant sur un souvenir d’enfance, Danny est convaincu qu’ils…
Hier je suis allée voir Fatal en avant-première au Gaumont Marignan, je connaissais un peu les “Fatal Bazooka” à travers l’album qui était sorti en 2007 (Fous ta cagoule….) mais aussi au début du personnage, à l’époque du Morning Live. Du Morning au cinéma Michaël Youn a décidé de porter son personnage “Fatal” à l’écran et de prendre la triple casquette de scénariste, acteur et réalisateur. Connaissant un peu l’homme, son émission, ses dérapages, ses balades à poils, ses précédents films, j’y suis allée avec l’impression que j’allais voir un film lourd, énervant, pas drôle, où je me lamenterais. Le…
When you’re strange est un film documentaire de Tom DiCillo sur le groupe de musique “The Doors” qui sortira au cinéma le 09 juin 2010.
L’UGC ciné cité les Halles a organisé une projection en présence de John Densmore le batteur du groupe, qui a profité de l’occasion pour nous raconter une anecdote sur Jim et en même temps nous expliquer le titre du film. Un homme sympathique qui a su ravir le public pour les quelques minutes qu’il a passé avec nous.
petit extrait filmé par Flogarko et Galathys
Synopsis: A l’origine, il y a Les portes de la perception, le livre d’Aldous Huxley sur son expérience de la mescaline et d’autres drogues hallucinogènes. La citation de William Blake, qui lui a fourni le titre de ce livre, inspira également Jim Morrison et Ray Manzarek pour le nom du groupe – The Doors – qu’ils fondèrent en 1965 à Venice Beach avec John Densmore et Robby Krieger. Ils allaient devenir l’un des groupes les plus importants et les plus influents du rock américain. (allocine)
Le film est donc un documentaire sur le groupe, depuis le début, leur rencontre, jusqu’à la mort de Jim 54 mois plus tard.
Les Meilleurs amis du monde est le premier long métrage de Julien Rambaldi. L’histoire est tirée de la pièce de théâtre “J’aime beaucoup ce que vous faites” de Carol Greep.
Le film sort en salle le 9 juin 2010, j’ai eu l’occasion de le voir, invitée chez Gaumont par Clyne.
L’histoire: Un week-end au vert avec vos meilleurs amis. Ceux qui vous aiment vraiment. Ceux en qui vous avez une confiance absolue. Ceux qui vous comprennent et vous disent toujours la vérité. Et surtout, ceux qui vous pourrissent sans savoir qu’ils ont appuyé sur la touche rappel de leur téléphone. (allocine)
Le casting : Marc Lavoine, Pierre-François Martin-Laval, Léa Drucker, Pascale Arbillot,
Maxime Godart