On l’attendait avec impatience, le deuxième album de Baden Baden est enfin arrivé ! Comme eux, on a plongé dans le bruit et on y est resté ! Chronique d’un album vital.

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Il y a quelque chose chez Baden Baden d’insaisissable. S’il serait facile de les comparer à des groupes comme Granville, on s’aperçoit vite que l’ambition est au delà de la chanson française. Petite frère spirituel de François and The Atlas Mountains et Florent Marchet, Baden Baden raconte en chanson les aventures et mésaventures qui peuplent la vie.

 

Pop mélancolique jusqu’au bout des ongles, ce nouvel opus n’en est pas moins sacrément racoleur. Si les textes raisonnent en nous comme des poésies qu’on connaît depuis toujours, les mélodies claquent pour nous laisser apercevoir au delà des mots. Et même lorsque les mots sont laissés de côté, la magie opère et on imagine devant Finalmente l’Italie, le soleil, le bruit ambiant d’un petit village au bord de l’eau. L’enfance même…

Par moment on pense à Fauve (A tes côtés ) juste après à Radiohead ( le merveilleux Depuis toi ) souvent à Grizzly Bear tant l’équilibre entre guitares et arrangement électronique est bien fait. Difficile alors de classer Baden Baden quelque part tant l’univers est riche et vaste.

 

40 minutes plus tard nous voilà à avoir dévorer les 11 morceaux de ce brillant album sans avoir vu passer le temps. On se sent alors un peu ailleurs, dans leur monde et on a qu’une envie : replonger dans le bruit !

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