Comme chaque année à l’approche des fêtes de fin d’année sort un Disney ou un Pixar. Après Vaiana en 2016, c’est au tour de Coco de faire l’actualité.
Coco c’est l’histoire d’un petit garçon Miguel, mexicain, qui a vu la musique bannie dans sa famille suite à une histoire d’arrière arrière arrière arriere grand père qui aurait quitté sa famille pour vivre pleinement son amour pour la musique. Depuis toute sorte de musique est interdite dans la famille. Pourtant Miguel adore ça et voue une passion à un ancien héros mexicain : De la Cruz dont il connaît le répertoire par cœur. Un soir lors de Dia de Los Mortos il décide de prendre son destin en main et va se retrouver malgré lui au pays des morts… Là-bas il va rencontrer ses ancêtres et se lier d amitié avec un drôle de personnage. Le passage de Miguel au pays des morts va bouleverser à jamais l’histoire de sa famille.
La première chose à dire sur ce nouveau Pixar c’est sa puissance visuelle. Le film est d’une beauté à couper le souffle. Les couleurs, les lumières : l’univers enchanté de Coco se révèle par sa DA et c’est une excellente nouvelle. Les petits seront captivés, les grands impressionnés par cette performance sidérante des studios Disney Pixar.
Si le film joue la carte de l’émotion, on dira qu’il est surtout à destination des plus petits à qui on veut transmettre l’idée de la famille et la nécessité de se souvenir. Le message est magnifique, l’émotion bien présente mais la facilité scenaristique de Coco sera moins appréciée des plus grands. Oui car depuis la première demi-heure on sait ce qu’il va se passer, on sait aussi que l’un des héros n’est pas qui il prétend et que Miguel finira par faire revenir le goût de la musique dans la famille… Pixar nous avait habitué à mieux en terme de rebondissements !
On ressortira de Coco avec un sentiment mitigé. Pas mécontents du moment passé mais pas non plus convaincus. Alors que nous étions habitués à des films à double lecture ce dernier né des studios Disney Pixar s’adresse clairement aux plus jeunes qui c’est certain ressortiront du cinéma les yeux plein d’étoiles.