Chaque année, juste avant la rentrée, je guette avec impatience le nouveau Nothomb. Tous les ans, l’auteure belge nous gratifie d’un roman qui malheureusement est de plus en plus fin.
Cette année, 150 pages sur son retour au Japon pour un reportage. Elle raconte ici sa difficulté à vivre ses souvenirs, à gérer les séparations et les retrouvailles.
Le bouquin est encore et toujours très bien écrit, mais le contenu est bien maigre. Au programme, pas de fiction, mais un récit bien réel.
Nothomb va raconter son expérience autour du reportage “Une Vie entre deux eaux“, le reportage, ses rencontres, ses souvenirs du Japon, Fukushima…
150 pages vraiment trop courtes. J’ai beaucoup aimé les retrouvailles avec sa vieille nourrice mais le reste du roman m’a déçue.
Chaque année, j’attends avec tellement d’impatience ce moment, et quand il est si court c’est frustrant. En un trajet de bus c’était plié !
Même si la déception est là, je sais que je serai encore et toujours au rendez-vous l’an prochain en espérant une fois de plus que Nothomb mette un peu plus de pages pour nous décrire ce qu’il se passe dans son coeur et ses histoires.
