Il y a tout juste 15 ans, le premier épisode de Sex & the city était diffusé, plus exactement le 6 juin 1998. Nous, les françaises, avions l’habitude de découvrir les épisodes le vendredi soir sur M6. Aujourd’hui, on réalise combien cette série a été importante, pour nous les filles, et combien elle a marqué notre jeunesse. Retour sur la façon dont SATC est arrivé dans nos vies…
“Quand j’ai regardé le pilote pour la première fois, c’était sous la pression de mes copines de lycée qui me disaient chaque semaine combien Sex & The City c’était génial. Après le premier visionnage, je me souviens avoir été un peu déçue, mais en réalité, je ne comprenais qu’on puisse s’attacher à ces personnages. J’ai redécouvert la série à la fac et là, ça a été la révélation : comment j’ai pu passer à côté ? Et même si on se rend compte que les premiers épisodes ont un peu vieilli, ce sont en réalité les plus authentiques.” Alexa
“Ce n’est pas une série que j’ai regardé dès le début, et encore moins une série que j’ai regardé dans l’ordre. Je me suis mise à zieuter lorsque toutes mes copines en parlaient déjà. Je zappais dessus le vendredi soir, mais ne pouvais pas toujours regarder tous les épisodes. Pire, je pensais être un peu trop jeune pour aimer SATC et j’avais peur que mes parents débarquent en plein orgasme de Samantha… Pourtant, chaque fois que je tombais dessus, impossible de zapper devant ces crises de rires, ces copines qui s’adorent et ces fashionistas qui s’assument en tant que femmes qui ont des envies. C’est toujours le cas aujourd’hui, j’ai vu et revu tous les épisodes de façon anachronique, mais je ne m’en lasse pas !” Anaïs
“La première fois que j’ai entendu parler de Sex & The City, c’était au collège. J’étais à l’époque trop jeune pour vraiment l’apprécier. J’ai donc laissé la série de côté en attendant de grandir un peu et de pouvoir comprendre tous les mots qui sortaient de la bouche de Samantha (quelques années donc). Me voilà presque majeure et je peux enfin lui donner sa chance. À peine quelques épisodes entrevus sur M6 et je me précipitais dans la FNAC la plus proche pour acheter les 6 saisons en DVD, ingurgitées en à peine une semaine. C’était comme si je faisais la rencontre de mes cousines new-yorkaises, comme si je tombais nez à nez avec 4 facettes de ma personnalité. Sex & The City : un coup de foudre à retardement.” AL
“Si j’avais du tomber ici et là sur des épisodes à la TV ou sur internet, ma vraie rencontre avec la série s’est faite quand j’étais en Prépa (là tu comprends que c’était pas une bonne idée de commencer les séries à cette époque de ma vie …). Florian V m’avait convaincue d’acheter un disque dur externe pour pouvoir me passer l’intégralité de la série. Si au début j’étais septique face à ces aventures si éloignées de mon quotidien, l’affection et la fascination pour la série a grandi crescendo. Je me souviens écouter toujours au casque pour éviter que Mère me demande des explications sur ces drôles de choses que je regardais. Je me souviens aussi que ce n’est pas tant les scènes de sexe et les fantasmes qui me marquaient mais plus l’évolution et les doutes de quatre jeunes femmes unies pour la vie qui cherchent sans trop y croire le grand amour.” Marine
Et vous…votre rencontre avec Carrie, Samantha, Miranda et Charlotte, ça s’est passé comment?
7 Comments
Hahaha j’adore le GIF animé !!! Cet épisode m’a tellement fait rire !!!
J’ai zappé récemment sur la série et je suis tombée sur l’une des “prestations” de cette charmante Samantha.
Mon copain a halluciné, il n’imaginait une seule seconde que la série avait cette teneur. J’étais morte de rire :o)
La première fois que j’ai vu Sex and the city, c’était ma mère qui le regardait, en VF. Je me souviens d’avoir compté le nombre de fois où le mot “pénis” était prononcé en un épisode, cela m’a fait un peu la même impression que la fois où ma grand-mère était devant une scène de seske à plus de deux dans Nip Tuck (ma mamie jugeait qu’une série sans histoire d’amûr n’avait aucun intérêt. Je me demande si elle ne sous-entendait pas “sans histoire de fesse”, réflexion faite), et je me suis dit que si c’était juste parler de sexe pour parler de sexe, cela n’avait pas grand intérêt. Vu plus tard, en VO, entre 2 ruptures et sans ma mère, c’était bien plus savoureux. Finalement Sex and the city c’est comme le café : il faut y goûter une deuxième fois en grandissant pour comprendre.
+1 avec Camille, SATC c’est aussi comme le bon vin, plus ça vieillit, meilleur c’est! Clairement, quand on est jeune, on ne voit que le côté vulgaire de la série. Quand on “grandit” on apprécie le côté humain et psychologique en plus du reste. En bref, une vraie série adulte quoi!
J’ai adoré cette série, je l’ai découverte sur M6 à l’époque et ensuite j’ai rattrapé les saisons que je n’avais pas vues en DVD ! Certes il y a un côté un peu agaçant trop chiffons, trop rires de crécelles parfois, mais il y avait toujours des histoires de coeur et de cul (oh ! ) entre Samantha qui nous faisait bien rire sans parler des beaux mecs qu’elle rencontrait et finalement on s’identifiait aussi pas mal à Carrie avec ses histoires d’amour quand même assez romantique entre le menuisier et l’inoubliable Mister Big (qui n’était pas vraiment canon d’ailleurs, mais…) Bref il y en avait pour tous les goûts entre la coincée et la working mother également…Et en plus ça se passait à New-York, raison de plus d’y aller faire un tour…Tout ça pour dire que moi j’étais très contente de les retrouver (deux fois) au cinoche et de me taper quelques fous rires avec les copines devant, même si ouais ça valait pas la série !
OMG !
J’ai regardé une première fois au lycée, j’étais en 2de ou 1ère… je crois que j’étais trop farouche à cette période-là de ma vie… Après quelques temps et sur les bons arguments de ma sœur (dont “ne regarde surtout pas en VF, c’est trop mal traduit !!”), et pour me rappeler NYC à mon bon souvenir, je me suis mise à la saison 1 en DVD…
Au final, j’adore me re-taper toutes les saisons de temps en temps, cette série ne vieillit pas finalement, j’ai tellement ri avec Samantha, Carrie a éveillé en moi une passion certaine pour les chaussures, Charlotte m’a fait prendre conscience de mon côté prout-prout et Miranda m’a fait déculpabiliser de rester chez moi en jogging trop laid à manger du chinois devant une connerie à la TV !
Et puis elle a raison Samantha : I love you, but I love me more !
Je n’ai vu que les films, honte à moi! Il faudrait que je me lance dans la série, vos commentaires positifs m’ont en donné envie en tout cas !